Les familles de l'école :
ensemble à distance
pour une vie plus douce à la maison
il était une fois
Ma Share Ecole est née de l'histoire de Caroline, une maman qui travaillait dans l'immobilier socialement responsable, habitait juste en face de l'école maternelle de sa fille et n'arrivait pas à faire connaissance avec les autres parents pour faciliter son quotidien.
"Depuis ma fenêtre, je voyais toutes ces petites fourmis aller et venir sans avoir le temps d'échanger un mot.
Combien de fois me suis-je dis "Si seulement j'avais un outil pour faire connaissance à distance, je pourrais m'organiser bien plus facilement et gagner un temps fou."
J'avais aussi l'impression de devoir faire un choix : arrêter de travailler pour profiter de ma fille ou travailler et passer à côté des jolies choses que je ne pourrai jamais rattraper avec mon enfant. Je ne voulais pas avoir à faire ce choix (et je ne pouvais/voulais pas arrêter de travailler).
J'ai longtemps cherché une solution. Je voulais trouver un outil qui ne vende pas les données de ses utilisateurs. Je suis clairement anti Facebook pour tout ce qui touche à la famille et aux enfants. Je ne trouvais pas. Les années passaient et toujours rien à l'horizon.
Alors j'ai commencé à interroger des centaines de familles partout en France. Elles avaient le même besoin que moi. Et le même sentiment. De fil en aiguille, j'ai aussi rencontré des parents incroyablement impliqués qui m'ont fait découvrir le monde parallèle des Associations de Parents d'Elèves. J'ai été fascinée par tant d'empathie, tant de travail dans l'ombre et si peu de reconnaissance. Je me suis mise à rêver de contribuer aussi à valoriser leur travail.
Le temps filait. Ma fille allait bientôt quitter le primaire et je me suis fait une promesse : "si un jour j'ai un deuxième enfant ça ne se passera pas comme ça".
"Depuis ma fenêtre, je voyais toutes ces petites fourmis aller et venir sans avoir le temps d'échanger un mot.
Combien de fois me suis-je dis "Si seulement j'avais un outil pour faire connaissance à distance, je pourrais m'organiser bien plus facilement et gagner un temps fou."
J'avais aussi l'impression de devoir faire un choix : arrêter de travailler pour profiter de ma fille ou travailler et passer à côté des jolies choses que je ne pourrai jamais rattraper avec mon enfant. Je ne voulais pas avoir à faire ce choix (et je ne pouvais/voulais pas arrêter de travailler).
J'ai longtemps cherché une solution. Je voulais trouver un outil qui ne vende pas les données de ses utilisateurs. Je suis clairement anti Facebook pour tout ce qui touche à la famille et aux enfants. Je ne trouvais pas. Les années passaient et toujours rien à l'horizon.
Alors j'ai commencé à interroger des centaines de familles partout en France. Elles avaient le même besoin que moi. Et le même sentiment. De fil en aiguille, j'ai aussi rencontré des parents incroyablement impliqués qui m'ont fait découvrir le monde parallèle des Associations de Parents d'Elèves. J'ai été fascinée par tant d'empathie, tant de travail dans l'ombre et si peu de reconnaissance. Je me suis mise à rêver de contribuer aussi à valoriser leur travail.
Le temps filait. Ma fille allait bientôt quitter le primaire et je me suis fait une promesse : "si un jour j'ai un deuxième enfant ça ne se passera pas comme ça".
Le second heureux évènement est arrivé. Juriste de formation, directrice générale dans l'immobilier socialement responsable et 38 ans (à l'époque:-), j'ai décidé d'apprendre à coder (merci Le Wagon) pour créer "Ma Share Ecole, et la vie est plus douce à la maison".
Rapidement, je suis tombée dans la marmite des témoignages boulversants. Ma Share Ecole faisait du bien aux familles. Le meilleur du lien social était en mouvement. J'approchais de la quarantaine et la quête de sens battait son plein.
J'ai alors quitté mon poste pour me consacrer entièrement à Ma Share Ecole.
J'ai travaillé jour et nuit, pendant 4 ans. Mon conjoint m'a soutenu. Mes enfants aussi. Sans eux Ma Share Ecole n'existerait pas. Et puis un jour, comme souvent quand on est au pied du mur, l'évidence. Les choses avaient vraiment bougé. Le quotidien des parents était vraiment devenu plus simple et les parents m'envoyaient spontanément des messages de remerciements. Les share APE étaient devenues des super héros. Les familles participaient aussi beaucoup plus aux actions des Associations de Parents d'Elèves et y adhéraient avec joie.
Même des enseignants et des directeurs d'écoles (qui ne sont pourtant pas sur la plateforme) nous faisaient passer des messages pour nous dire qu'ils avaient vu un changement très positif dans les familles !
Il ne manquait plus qu'un maillon, l'Agent BIENfaiteur local. Le cercle vertueux de Ma Share Ecole était bouclé et je réunissais mes deux passions.
Chers BIENfaiteurs de l'immobilier, au nom de toutes les share familles, un immense merci d'être là, et de nous permettre de protéger ce que nous avons de plus précieux : nos enfants, notre temps ( l'apprentissage des petits gestes pour la planète 🌎💚) et nos données !"
Rapidement, je suis tombée dans la marmite des témoignages boulversants. Ma Share Ecole faisait du bien aux familles. Le meilleur du lien social était en mouvement. J'approchais de la quarantaine et la quête de sens battait son plein.
J'ai alors quitté mon poste pour me consacrer entièrement à Ma Share Ecole.
J'ai travaillé jour et nuit, pendant 4 ans. Mon conjoint m'a soutenu. Mes enfants aussi. Sans eux Ma Share Ecole n'existerait pas. Et puis un jour, comme souvent quand on est au pied du mur, l'évidence. Les choses avaient vraiment bougé. Le quotidien des parents était vraiment devenu plus simple et les parents m'envoyaient spontanément des messages de remerciements. Les share APE étaient devenues des super héros. Les familles participaient aussi beaucoup plus aux actions des Associations de Parents d'Elèves et y adhéraient avec joie.
Même des enseignants et des directeurs d'écoles (qui ne sont pourtant pas sur la plateforme) nous faisaient passer des messages pour nous dire qu'ils avaient vu un changement très positif dans les familles !
Il ne manquait plus qu'un maillon, l'Agent BIENfaiteur local. Le cercle vertueux de Ma Share Ecole était bouclé et je réunissais mes deux passions.
Chers BIENfaiteurs de l'immobilier, au nom de toutes les share familles, un immense merci d'être là, et de nous permettre de protéger ce que nous avons de plus précieux : nos enfants, notre temps ( l'apprentissage des petits gestes pour la planète 🌎💚) et nos données !"
Merci à tous
caroline
fondatrice
"Merci à tous ceux qui ont contribué à faire grandir "Ma Share Ecole, et la vie est plus douce à la maison". Ensemble, nous avons embelli la vie de milliers de parents et d'enfants. Notre souhait est maintenant de reproduire notre cercle vertueux partout en France pour que chaque famille puisse en profiter. Nous travaillons en ce moment au développement de la nouvelle plateforme encore plus pratique pour tous !" Caroline
Caroline Carrière est née à Cherbourg en 1975. Juriste de formation, elle a exercé de nombreux métiers dont ceux de juriste, fiscaliste, ingénieure patrimonial, formatrice, manager, directrice commerciale, directrice générale dans l’immobilier socialement responsable avant de se former au code informatique pour développer les fondations de Ma Share École. Aujourd'hui Caroline développe toujours Ma Share Ecole et a une activité de consultante en innovation.